vendredi 31 janvier 2014
FAUVEcorp
On rend les oreilles pour...
Fauve ≠ De Ceux / Premier album Vieux Frères - Partie 1, sortie le 3 février 2014
Musique: http://youtu.be/RyuUNeCrAn4
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#IVG, Mon corps mon droit
D’abord, il y a eu l’Espagne et l’avant-projet de loi du
Parti populaire qui piétinait le droit à l’avortement. Révoltant. Puis il y a
eu la manifestation des anti-IVG dimanche 19 janvier à Paris. Choquant. Pour
finir, il y a eu la bataille politique à l’Assemblée autour des amendements à
la loi Veil sur l’IVG. Et la colère nous a gagnés. Comment est-ce possible ?
Comment des membres éminents de la classe politique française peuvent-ils
relancer le débat sur un droit fondamental comme l’IVG ? Je ne parle pas bien
sûr de la brochette réactionnaire des Poisson, Mariton, Le Fur et consorts,
toujours aux avant-postes du retour à l’ordre moral, qui veulent dérembourser
l’IVG et plonger les femmes les plus pauvres dans un vrai désarroi. Non, je
parle du droitier Copé et du modéré Fillon qui souhaitent maintenir la
référence à l’état de détresse de la femme pour l’autoriser à avorter. Comment
osent-ils ? Comme si on nous concédait ce droit eu égard à notre grande
souffrance ou à notre misère. Vouloir conserver cette notion obsolète de
détresse féminine (qui, dans le contexte du vote de la loi Veil, rappelait que
de nombreuses femmes mouraient des suites d’avortements clandestins) en dit
long sur le rapport que beaucoup de politiques entretiennent encore aux femmes
et à leurs droits : ils ne les reconnaissent pas, ils les tolèrent. Cela en dit
long aussi sur leur méconnaissance crasse des chiffres de l’avortement en
France. Dans deux cas sur trois, la femme utilisait une contraception. Il ne
s’agit pas, comme ils en brandissent la menace, de banaliser l’acte d’avorter,
car avorter n’est pas un acte anodin ou une partie de plaisir. Mais ce n’est
pas non plus le drame psychologique dont on ne se remet jamais comme nous le
martèlent les intégristes religieux et leurs amis rassemblés en manifestation
anti-IVG. Non. On peut aussi avorter simplement parce qu’on ne souhaite pas
être mère à un moment donné. C’est une décision intime, qui ne relève que de
notre libre choix. Le 21 janvier, l’Assemblée majoritairement derrière le
gouvernement n’a pas retenu les propositions des députés de l’UMP. (Saluons la
position de Nicole Ameline, Marie-Jo Zimmermann et Françoise Guégot qui n’ont
pas voté avec leur camp politique.) C’est une victoire, certes, mais pour
combien de temps ? Si demain les conservateurs gagnent du terrain en France, si
les leaders de la droite les courtisent à coups de propositions réactionnaires
remettant en cause les acquis des femmes, si le FN de Marine Le Pen, qui
fustige l’« avortement de confort », devient le premier parti de France,
qu’adviendra-t-il de nos droits fondamentaux ? Nul ne peut le dire. D’autant
que les menaces sur l’IVG sont déjà réelles. Cent trente centres ont fermé
depuis 2004 et bon nombre de médecins militants qui avaient commencé à
pratiquer les avortements dans les années 70 partent aujourd’hui à la retraite
et sont difficilement remplacés. Notre seule certitude, c’est que, face au
bruit des anti-IVG, il faut faire entendre nos voix. Vous avez déjà été des
milliers à nous rejoindre sur Twitter pour exprimer votre attachement au droit
à l’IVG. La mobilisation continue. Des millions de femmes se sont battues pour ce
droit. Il est à nous. Et ce n’est pas négociable.
Mobilisez-vous pour défendre le droit à l’IVG. Postez votre
photo sur Twitter : #IVGmoncorpsmondroit
Edito du Elle du 31 janvier 2014, par Valérie Toranian
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Le Grand Véfour - Editions Du Chêne
Le restaurant gastronomique Le Grand Véfour ouvrit ses portes en 1820 (il était depuis 1784 un café). Napoléon et Joséphine, le prince de Joinville le fréquentèrent à leur époque. Situé dans la galerie des Beaujolais du Palais royal à Paris, il a accueilli rois, princes et célébrités au fil des époques. Guy Martin retrace l’histoire du Grand Véfour, de sa création en 1784 à aujourd’hui et y dévoile une cinquantaine de ses grandes recettes servies au Grand Véfour. La magie du lieu, du service et de la cuisine sont réunies dans ce superbe livre.
Je vous ai mis le site des éditions du Chêne
Pour les gourmands, c'est par ici: http://www.grand-vefour.com
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Pour les gourmands, c'est par ici: http://www.grand-vefour.com
農曆新年
Bonne année !
Le Nouvel an chinois ou vietnamien (fête du Têt) 2014 tombe cette année le 31 janvier. Cette année est placée sous le signe du Cheval de Bois.
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60ème anniversaire de l’appel de l’abbé Pierre
C'est un cri d'alarme contre la misère qu'Henri Grouès, plus connu sous le nom de l'abbé Pierre, lance ce matin-là, sur Radio Luxembourg. L’hiver étant particulièrement rigoureux, le fondateur d’Emmaüs incite tous les Français à aider les sans-logis. Un appel à "l’insurrection de bonté".
Voici le texte de l'appel de l’abbé Pierre du 1er février 1954, à 1 heure du matin sur Radio Luxembourg:
"Mes amis, au secours...
Une femme vient de mourir gelée, cette nuit à trois heures, sur le trottoir du boulevard Sébastopol, serrant sur elle le papier par lequel, avant hier, on l’avait expulsée...
Chaque nuit, ils sont plus de 2000 recroquevillés sous le gel, sans toit, sans pain, plus d’un presque nu.
Devant l’horreur, les cités d’urgence, ce n’est même plus assez urgent !
Écoutez-moi : en trois heures, deux premiers centres de dépannage viennent de se créer : l’un sous la tente au pied du Panthéon, rue de la Montagne Sainte Geneviève ; l’autre à Courbevoie. Ils regorgent déjà, il faut en ouvrir partout. Il faut que ce soir même, dans toutes les villes de France, dans chaque quartier de Paris, des pancartes s’accrochent sous une lumière dans la nuit, à la porte de lieux où il y ait couvertures, paille, soupe, et où l’on lise sous ce titre "Centre fraternel de Dépannage", ces simples mots :
"Toi qui souffres, qui que tu sois, entre, dors, mange, reprend espoir, icinon t'aime".
La météo annonce un mois de gelées terribles. Tant que dure l’hiver, que ces centres subsistent, devant leurs frères mourant de misère, une seule opinion doit exister entre hommes : la volonté de rendre impossible que cela dure.
Je vous prie, aimons-nous assez tout de suite pour faire cela. Que tant de douleur nous ait rendu cette chose merveilleuse : l’âme commune de la France. Merci !
Chacun de nous peut venir en aide aux "sans abri". Il nous faut pour ce soir, et au plus tard pour demain :
• 5000 couvertures,
• 300 grandes tentes américaines,
• 200 poêles catalytiques
Déposez les vite à l’hôtel Rochester, 92 rue de la Boétie. Rendez-vous des volontaires et des camions pour le ramassage, ce soir à 23 heures, devant la tente de la montagne Sainte Geneviève.
Grâce à vous, aucun homme, aucun gosse ne couchera ce soir sur l’asphalte ou sur les quais de Paris.
Merci !"
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Perrott Bespoke Printing
Un joli film sur une famille d'imprimeurs depuis 4 générations, à Londres...
"Print"
Vidéo: https://vimeo.com/84804901#at=0
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DoBeDo Productions - Nike Women
On regarde ça :
Nike Women - Modern Movement
Vidéo: https://vimeo.com/76756129
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Pour le site de Nike, c'est ici: http://www.nike.com
Guido Guidi - Veramente - Fondation Henri Cartier-Bresson
Guido Guidi est un photographe né en 1941 à Cesana, dans le Nord-Est de l'Italie, qui acquiert au fil des années une stature internationale. Jusqu'au 27 avril 2014, la Fondation Cartier-Bresson lui consacre, pour la première fois en France, une exposition qui, à travers plusieurs séries, couvre quarante années de pratique et de recherches. "Veramente" (à vrai dire), c’est le mot qu’a choisi la Fondation Cartier-Bresson pour résumer l’œuvre de l’italien Guido Guidi. Car il est vrai qu’il est dur de s’y orienter et d’en comprendre le cheminement tellement ça part dans tous les sens, mais c'est intéressant.
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Gilles Caron - Le conflit intérieur - Musée de la Photographie de Charleroi
Jusqu’au 18 mai 2014, le Musée de la Photographie de Charleroi, en Belgique, présente près de 150 photographies de Gilles Caron (1939-1970), photographe star de l’agence de presse Gamma.
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Pour celui du Musée, c'est ici: http://www.museephoto.be
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Pour celui du Musée, c'est ici: http://www.museephoto.be
Muhammed Muheisen
Coup de cœur...
For more than three decades, Pakistan has been home to one of the world's largest refugee communities: hundreds of thousands of Afghans who have fled the repeated wars and fighting in their country. Since the 2001 U.S.-led invasion of Afghanistan, some 3.8 million have returned home, according to the United Nations' refugee agency. But nearly 1.6 million registered Afghan refugees remain in Pakistan, with roughly another million living here illegally. Whole generations of Afghan children have been born and raised in Pakistan, often living in poverty and uncertainty. Awal Gul, 12, lives in a slum on the outskirts of the capital, Islamabad. He's never gone to school and instead works as a day laborer at a nearby vegetable market. He dreams of becoming a famous cricket player and representing his homeland. "My land is in Afghanistan, and we have nothing in Pakistan," he said. The Afghan population in Pakistan is the legacy of Afghanistan's repeated conflicts. Millions streamed across the border after the Soviet invasion of Afghanistan in 1979, the start of a decade-long war against the occupation. After the Soviets pulled out, the country was torn apart by fighting between warlords, and more Afghans fled. When the Taliban rose to power in 1996, their strict form of Sunni Islam further terrorized the population. Most of the refugees can't fathom returning to Afghanistan. They may feel like outsiders in Pakistan, but they say their homeland is still too violent and desperately poor. But many Pakistanis are growing frustrated with the toll they say the refugee population is taking on their country, and pressure is mounting on the government to send them back. The Afghans are perceived as bringing crime and terrorism to Pakistan and have a hard time finding jobs or sending their children to school. Muhammed Muheisen.
Une série de portraits d'enfants Afghans, réfugiés au Pakistan
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