vendredi 28 février 2014

Bonne nuit à vous.









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Guido Reni

"Charité" -  Metropolitan Museum NYC
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Jacob van Loo

"Amarillys couronne Myrtillo"  1640-1660 -
Amsterdam, Rijksmuseum
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Félix Vallotton

"La feuille jaune" 1913
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Life ...








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Et hop !










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Otto Griebel

"Cirque" 1920
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Robert Burley - Glenn Gould Foundation

"The Places of Glenn Gould" 1991
The Places of Glenn Gould was commissioned by DU Die Zeitschrift der Kultur, a Swiss publication that dedicated an entire issue to Gould, eight years after his untimely death.  These photographs explore the places that were inhabited and frequented by Gould over his lifetime. The images presented here offer a glimpse into the life of a man who has been described as a genius, an outsider and an eccentric. Gould, who died just a few days after his 50th birthday in 1982, left behind a rich legacy as a musician, writer and media producer.  The YEAR OF GLENN GOULD was launched on September 25th, 2007 marking the anniversaries of Gould’s birth, his first concert in Moscow and his premature death.  
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Pour celui de la Fondation Glenn Gould, c'est ici: http://glenngould.ca








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Francesca Ferrari

"Japan" I feel a strong connection with Japanese way of life. These images are a combination of myself and the outside landscape that I found during some time I spent on the island. Absence, spaciousness, transience, subtleness and dimness are recurring themes of this work that gather comfort in Japanese aesthetics.
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Leo Gestel

"Le flirt"  1910
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Laura Pannack

"Glass"
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Et hop !









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Sol LeWitt - Eva Hesse






"Do a lot of little things - it’s better than large things." 
Une carte postale de Sol LeWitt à Eva Hesse - 2 juillet 1966



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Die Welt von Fabergé - Kunsthistorisches Museum

L'exposition "Le Monde de Fabergé" dédiée au joaillier des tsars russes Carl Fabergé et à d'autres maîtres de l'art russe, s'est ouverte mardi au Kunsthistorisches Museum (Musée de l'histoire de l'art) de Vienne, en Autriche. L'exposition présente plus de 160 chefs-d'œuvre d'art russe prêtés par deux musées de Moscou. Les visiteurs peuvent notamment admirer trois des dix œufs de Fabergé appartenant aux Musées du Kremlin de Moscou, ainsi qu'un œuf de Pâques inachevé en raison de la Révolution russe de 1917, "Constellation du prince", provenant de la collection du Musée minéralogique Fersman de Moscou. L'œuf de Pâques "Kremlin de Moscou" de Carl Fabergé offert par l'empereur russe Nicolas II à son épouse en 1906 se trouve au centre de l'exposition. Il s'agit du troisième projet conjoint lancé par le Kunsthistorisches Museum et les Musées du Kremlin de Moscou depuis 25 ans. L'exposition "Le monde de Fabergé", qui sera ouverte jusqu'au 18 mai prochain, est un événement central des Saisons culturelles russo-autrichiennes de 2013-2015. Parmi les pièces exposées se trouvent également des bijoux et objets d'orfèvrerie (broches, étuis à cigares, plats, sculptures sur pierre, etc.) créées par les ateliers de Pavel Ovtchinnikov, de Carl Blant et d'Ivan Khlebnikov fin XIXe et début XXe siècle, et ayant appartenu à la famille des tsars russes. A voir jusqu'au 18 mai 2014.
Vidéo: http://youtu.be/b6dxKNRXGgY
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Boza Ivanovic - Out of the Wild: Zoo Portraits - Glitterati incorporated

Après qu'un violent accident de moto m'ait laissé avec deux vertèbres fêlées, dans mon dos et dans mon cou, deux côtes cassées, et l'obligation de tenir le lit pendant quatre mois, j'ai eu le temps de déterminer quelle direction ma carrière de photographe allait prendre après ma convalescence. Je me suis rappelé d'une photo de tigre que j'avais prise quelques années auparavant lors d'un passage au zoo. J'avais été frappé parce que ce qui avait littéralement bondi hors de ce cliché — une personnalité, une âme. Il m'est apparu que ce que l'objectif avait d'une manière ou d'une autre réussi à saisir s'exprimerait bien mieux en noir et blanc. L'essence de l'esprit de cette créature, capturée seulement à travers le mouvement et la lumière. Boza Ivanovic
J'ai rencontré Boza Ivanovic pour la première fois quelques mois avant son accident, et quand il m'en a parlé, j'ai commencé à lui envoyer des livres. Il s'est alors mis lui-même à m'envoyer des photographies : des portraits d'animaux derrière des barreaux, derrière des vitres, mais leur condition captive y était invisible, et ce qui restait dès lors était l'image d'une vie anonyme, inconnue, préservée pour la satisfaction du public. Les animaux qu'Ivanovic a capturé avec son appareil vivaient en captivité et chaque photographie reflète leur singularité, et ce qui les sépare de leur réalité naturelle. C'est sous la forme d'un lion qu'une majesté est conférée à cette condition, parce qu'avec ce lion, nous découvrons la grandeur dont il nous est fait grâce, de l'intérieur et de l'extérieur. Il y a une fierté et une humilité, une pureté et une honnêteté dans ce que le lion évoque. Son expression me coupe le souffle, à chaque fois que je la vois. Peut-être est-ce en raison de la patience et de la discipline qu'il a fallu à Ivanovic pour réussir ce cliché. Pendant quatre jours, il a attendu devant la cage du lion au zoo de Los Angeles. Quatre jours, de neuf heures du matin jusqu'à cinq heures du soir, à regarder le lion assoupi. Le fauve dormait, indifférent à la présence d'Ivanovic, et celui-ci resta ainsi à l'affût, acceptant de présenter les signes de déférence que le roi de la savane lui demandait. Au moment où il s'éveilla, Ivanovic était là pour enregistrer ce moment. Il se souvient : « C'était beau et impressionnant, et en même temps, très paisible. Il était devenu rapidement clair que chaque animal avait sa propre personnalité. Ce lion semble-t-il très fier pouvait tout à fait se montrer un animal très doux, tandis que le mignon petit singe d'à côté présenterait finalement des signes de rage incontrôlables. Il fallait des heures d'observation pour apprendre à connaître chacune de ces créatures. » La photographie du lion a connu une nouvelle postérité puisqu'elle a servi de modèle pour divers tatouages. Dans le courant de l'année, des douzaines de photos sont apparues sur Instagram, montrant différentes zones anatomiques ornées de têtes de lions détaillées : des épaules, des poitrines, des abdomens, des dos, des biceps, des avant-bras, des mains, des cuisses et des mollets. Partout où le lion peut apparaître, il le fait.
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Pour celui des éditions, c'est par là: http://glitteratiincorporated.com/products/out-of-the-wild-by-boza-ivanovic

























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