vendredi 31 octobre 2014

Bonne nuit à vous.










Pin It

Happy Halloween !








Pin It

Norman Rockwell

"Vieil homme et garçon, Halloween" 1952
Je vous ai mis un lien

Pin It

Et hop !







Pin It

Edgar Degas

"La Scène de ballet de l'Opéra de Robert le Diable de Meyerbeer"  1876
Je vous ai mis un lien

Pin It

Edmund Tarbell

"Mary avec un chapeau noir"
Je vous ai mis un lien


Pin It

Ernest Biéler

"Portrait de Violette Scholder"
Je vous ai mis un lien

Pin It

Aaron Nace

"A Doll’s House"
Je vous ai mis son site








Pin It

Et hop !








Pin It

Love etc...







You, You, You, You, You, You, You & Me
(Follow my other Tumblr for my Instagram photos)
Pin It

Librairie le Pas Sage






Coup de cœur...
Pour la librairie le Pas Sage de  Nicolas Lieng, où vous trouverez une sélection de livres anciens et modernes rares, d'éditions originales, d'autographes et objets de curiosité.
78, rue Joseph de Maistre 75018 Paris
Je vous ai mis son site
Pour sa page Facebook, c'est ici:
https://www.facebook.com/le.pas.sage.rare.books








Pin It

Marella Agnelli - The last swan - Rizzoli New York

Parution en anglais aux éditions Rizzoli de cet ouvrage consacré à l'élégantissime Marella Agnelli et intitulé "The last swan" (le dernier cygne). La princesse Marella Caracciolo di Castagneto, épousa l’industriel italien Giovanni Agnelli en 1953. Marella Agnelli a toujours été une référence de raffinement et élégance, décorant avec un gout exquis ses résidences et palais de Turin, Saint Moritz, Marrakech, Rome, Milan et New York... Par  Marella Agnelli et Marella Caracciolo Chia
Je vous ai mis le site des éditions




Pin It

Suck UK

Voici le tire-bouchon rigolo, "Legless" de Suck UK
Je vous ai mis leur site



Pin It

Galerie RTR

Pour fêter les 8 ans de la galerie Russian Tea Room, sa directrice Liza Fetissova a organisé une exposition rétrospective "HAPPY!". A voir jusqu'au 29 novembre 2014.
Je vous ai mis le site

















Pin It

Studio Marlot & Chopard - Galerie Jérôme Pauchant






Coup de cœur !
Pour sa deuxième exposition et en parallèle au Mois de la Photographie, la Galerie Jérôme Pauchant présentera le couple d’artistes français Rémy Marlot et Ariane Chopard,  intitulée "Printed memories" du 6 novembre au 6 décembre 2014. Cette exposition permettra de découvrir leur série la plus récente intitulée "Souvenirs d’Italie", 2013, mettant en scène des vues de paysages qui renvoient à l’idée exotique d’une Italie fantasmée, comme le "voyage en Italie" des artistes classiques ou même leurs propres voyages transalpins dont Rémy Marlot et Ariane Chopard n’ont pourtant ramené aucune image…!  En prolongement de ce travail sur la mémoire d’un lieu, les artistes présenteront une sélection d’œuvres issue d’une de leurs séries les plus emblématiques, intitulée "Black Houses",2006. Cet ensemble d’images ramenées à un noir et blanc très contrasté, représente des habitations pavillonnaires, photographiées en plongée, accentuant la dimension architecturale très singulière des toits et des façades, jusqu’à les faire ressembler à des châteaux, des demeures inquiétantes et fabuleuses nous invitant irrésistiblement à franchir le seuil d’un autre univers, étrange et mystérieux…
Je vous ai mis leur site
Pour le site de la galerie, c'est ici: http://www.jeromepauchant.com



Pin It

Jürg Kreienbühl - Galerie Alain Blondel

En 1981, Jürg Kreienbühl accepta l’invitation d’un ami peintre de visiter la Galerie de Zoologie du Jardin des Plantes. Il avait déjà exécuté un ensemble de peintures dans la Galerie d’Anatomie comparée une dizaine d’années plus tôt. C’était, depuis 1965, un lieu fermé au public à cause de son état de délabrement, au grand désespoir des chercheurs du Muséum. Voici le récit qu’en fit Kreienbühl, en pénétrant dans la grande galerie :  « Ce que je vis alors dépassait tout ce que j’avais imaginé auparavant. Ce fut un choc immédiat, brutal, balayant d’un seul coup tous les projets des mois à venir. Adieu forêt de Cormeilles, adieu arbres, adieu soleil. La vision de ce hall, immense comme une gare, me laissa cloué sur place. De la pénombre émergeaient un éléphant d’Afrique aux oreilles dressées, un groupe de girafes aux cous gracilement courbés et de gigantesques squelettes de baleine. Dans une légère brume bleutée on devinait des troupeaux de zèbres, de buffles et de fauves à l’affût. L’émotion me submergeait, se changea en frisson et en sueur. Mon cœur battait plus vite, mes oreilles bourdonnaient et je me souvenais des mots de Courbet : « Je suis ému. »  Kreienbühl passa trois années dans cette arche de Noé échouée. Grâce à la sympathie des gardiens et des scientifiques qui lui confièrent une clé des lieux, il put peindre de l’aube au crépuscule et contourner l’obstacle majeure du manque de lumière. En disposant ses tableaux en cours aux quatre coins du Muséum et en suivant avec attention les mouvements du soleil, il réussit à capter les moments fugitifs où la lumière touchait tel ou tel recoin du « Louvre des Animaux ».   En 1984, la décision fut prise de déménager les collections dans un souterrain, baptisé « Zoothèque », mettant un terme aux travaux de Kreienbühl. Il peignit en tout une soixantaine de tableaux et réalisa plus d’une vingtaine de lithographies. En mai 1985, le Muséum d’Histoire Naturelle de Paris organisa un exposition de ces œuvres, intitulée « Hommage à la galerie de Zoologie ».   Après sa peinture des bidonvilles et d’une ancienne usine de saints d’églises, c’est un autre monde perdu dont Kreienbühl se veut le témoin. Toute son œuvre porte la trace des profonds bouleversements socio-économiques et écologiques de la seconde moitié du 20ème siècle. La série de la Galerie de Zoologie résume et peut-être dépasse tous les grands sujets du peintre: « La vie me semblait être le jeu d’un esprit terriblement pervers qui s’amusait à créer, à détruire, à recréer ce que les scientifiques appellent Evolution ; cette évolution, cette pyramide dont le dernier bloc courronnant l’édifice fut sa construction la plus monstrueuse : l’homo sapiens ».  Biographie  Né en 1932 à Bâle, Jürg Kreienbühl étudie d’abord la biologie avant de s’incrire à l'école des Beaux-Arts de Bâle. A la fin de ses études, il part en France où il peint des cadavres d’animaux, des décharges et des cimetières. Après un bref retour à Bâle, il s’installe en plein cœur du bidonville de Bezons, dans un vieil autobus, et en peint les immigrés avec lesquels il se sent en profonde sympathie.   En 1962, il se fixe définitivement près d’Argenteuil et continue ses portraits de marginaux et d’infirmes. En 1973, le Musée des Beaux-Arts d’Aarau lui consacre une première grande exposition rétrospective et, à partir du milieu des années 1970, il commence à exposer à la galerie du Luxembourg (aujourd’hui galerie Alain Blondel). Il diversifie ses sujets : une ancienne usine de saints d’églises, la destruction du bidonville de Carrières-sur-Seine, la pollution du littoral, le paquebot France, le jardin du sculpteur Bernhard Luginbühl, la centrale nucléaire de Gravelines et le port de Dunkerque. Jürg Kreienbühl est mort à Paris en 2007.
"Le Muséum d’Histoire Naturelle" de Jürg Kreienbühl, à voir du 6 novembre au 20 décembre 2014, à la Galerie Alain Blondel
Je vous ai mis le site de la galerie.

Pin It