vendredi 31 octobre 2014
Librairie le Pas Sage
Coup de cœur...
Pour la librairie le Pas Sage de Nicolas Lieng, où vous trouverez une sélection de livres anciens et modernes rares, d'éditions originales, d'autographes et objets de curiosité.
78, rue Joseph de Maistre 75018 Paris
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Pour sa page Facebook, c'est ici:
https://www.facebook.com/le.pas.sage.rare.books
Marella Agnelli - The last swan - Rizzoli New York
Parution en anglais aux éditions Rizzoli de cet ouvrage consacré à l'élégantissime Marella Agnelli et intitulé "The last swan" (le dernier cygne). La princesse Marella Caracciolo di Castagneto, épousa l’industriel italien Giovanni Agnelli en 1953. Marella Agnelli a toujours été une référence de raffinement et élégance, décorant avec un gout exquis ses résidences et palais de Turin, Saint Moritz, Marrakech, Rome, Milan et New York... Par Marella Agnelli et Marella Caracciolo Chia
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Galerie RTR
Pour fêter les 8 ans de la galerie Russian Tea Room, sa directrice Liza Fetissova a organisé une exposition rétrospective "HAPPY!". A voir jusqu'au 29 novembre 2014.
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Studio Marlot & Chopard - Galerie Jérôme Pauchant
Coup de cœur !
Pour sa deuxième exposition et en parallèle au Mois de la Photographie, la Galerie Jérôme Pauchant présentera le couple d’artistes français Rémy Marlot et Ariane Chopard, intitulée "Printed memories" du 6 novembre au 6 décembre 2014. Cette exposition permettra de découvrir leur série la plus récente intitulée "Souvenirs d’Italie", 2013, mettant en scène des vues de paysages qui renvoient à l’idée exotique d’une Italie fantasmée, comme le "voyage en Italie" des artistes classiques ou même leurs propres voyages transalpins dont Rémy Marlot et Ariane Chopard n’ont pourtant ramené aucune image…! En prolongement de ce travail sur la mémoire d’un lieu, les artistes présenteront une sélection d’œuvres issue d’une de leurs séries les plus emblématiques, intitulée "Black Houses",2006. Cet ensemble d’images ramenées à un noir et blanc très contrasté, représente des habitations pavillonnaires, photographiées en plongée, accentuant la dimension architecturale très singulière des toits et des façades, jusqu’à les faire ressembler à des châteaux, des demeures inquiétantes et fabuleuses nous invitant irrésistiblement à franchir le seuil d’un autre univers, étrange et mystérieux…
Je vous ai mis leur sitePour le site de la galerie, c'est ici: http://www.jeromepauchant.com
Jürg Kreienbühl - Galerie Alain Blondel
En 1981, Jürg Kreienbühl accepta l’invitation d’un ami peintre de visiter la Galerie de Zoologie du Jardin des Plantes. Il avait déjà exécuté un ensemble de peintures dans la Galerie d’Anatomie comparée une dizaine d’années plus tôt. C’était, depuis 1965, un lieu fermé au public à cause de son état de délabrement, au grand désespoir des chercheurs du Muséum. Voici le récit qu’en fit Kreienbühl, en pénétrant dans la grande galerie : « Ce que je vis alors dépassait tout ce que j’avais imaginé auparavant. Ce fut un choc immédiat, brutal, balayant d’un seul coup tous les projets des mois à venir. Adieu forêt de Cormeilles, adieu arbres, adieu soleil. La vision de ce hall, immense comme une gare, me laissa cloué sur place. De la pénombre émergeaient un éléphant d’Afrique aux oreilles dressées, un groupe de girafes aux cous gracilement courbés et de gigantesques squelettes de baleine. Dans une légère brume bleutée on devinait des troupeaux de zèbres, de buffles et de fauves à l’affût. L’émotion me submergeait, se changea en frisson et en sueur. Mon cœur battait plus vite, mes oreilles bourdonnaient et je me souvenais des mots de Courbet : « Je suis ému. » Kreienbühl passa trois années dans cette arche de Noé échouée. Grâce à la sympathie des gardiens et des scientifiques qui lui confièrent une clé des lieux, il put peindre de l’aube au crépuscule et contourner l’obstacle majeure du manque de lumière. En disposant ses tableaux en cours aux quatre coins du Muséum et en suivant avec attention les mouvements du soleil, il réussit à capter les moments fugitifs où la lumière touchait tel ou tel recoin du « Louvre des Animaux ». En 1984, la décision fut prise de déménager les collections dans un souterrain, baptisé « Zoothèque », mettant un terme aux travaux de Kreienbühl. Il peignit en tout une soixantaine de tableaux et réalisa plus d’une vingtaine de lithographies. En mai 1985, le Muséum d’Histoire Naturelle de Paris organisa un exposition de ces œuvres, intitulée « Hommage à la galerie de Zoologie ». Après sa peinture des bidonvilles et d’une ancienne usine de saints d’églises, c’est un autre monde perdu dont Kreienbühl se veut le témoin. Toute son œuvre porte la trace des profonds bouleversements socio-économiques et écologiques de la seconde moitié du 20ème siècle. La série de la Galerie de Zoologie résume et peut-être dépasse tous les grands sujets du peintre: « La vie me semblait être le jeu d’un esprit terriblement pervers qui s’amusait à créer, à détruire, à recréer ce que les scientifiques appellent Evolution ; cette évolution, cette pyramide dont le dernier bloc courronnant l’édifice fut sa construction la plus monstrueuse : l’homo sapiens ». Biographie Né en 1932 à Bâle, Jürg Kreienbühl étudie d’abord la biologie avant de s’incrire à l'école des Beaux-Arts de Bâle. A la fin de ses études, il part en France où il peint des cadavres d’animaux, des décharges et des cimetières. Après un bref retour à Bâle, il s’installe en plein cœur du bidonville de Bezons, dans un vieil autobus, et en peint les immigrés avec lesquels il se sent en profonde sympathie. En 1962, il se fixe définitivement près d’Argenteuil et continue ses portraits de marginaux et d’infirmes. En 1973, le Musée des Beaux-Arts d’Aarau lui consacre une première grande exposition rétrospective et, à partir du milieu des années 1970, il commence à exposer à la galerie du Luxembourg (aujourd’hui galerie Alain Blondel). Il diversifie ses sujets : une ancienne usine de saints d’églises, la destruction du bidonville de Carrières-sur-Seine, la pollution du littoral, le paquebot France, le jardin du sculpteur Bernhard Luginbühl, la centrale nucléaire de Gravelines et le port de Dunkerque. Jürg Kreienbühl est mort à Paris en 2007.
"Le Muséum d’Histoire Naturelle" de Jürg Kreienbühl, à voir du 6 novembre au 20 décembre 2014, à la Galerie Alain BlondelJe vous ai mis le site de la galerie.
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