mardi 30 juin 2015

Bonne nuit à vous tous ...











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Wim Heldens

"Peintures"
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József Rippl-Róna

"Femme avec une cage à oiseaux" 1892
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Nicolas de Largilliere

"Pierre-Joseph Titon de Cogny" 1715
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Tabitha Vevers

"Pearlmaker II" 2005 (Shell Series)
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Florian Slotawa

"Mannheimer Bestandsaufnahme" (Gläser)  2002-2004
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Free from my Happiness - Festival International de photo de Gand 2015


L’exposition “ Free from my Happiness ” présente le travail de Sibusiso Bheka, Tshepiso Mazibuko et Lindokuhle Sobekwa, photographes sud-africains ayant grandi dans le township de Thokoza en afrique du sud. Ils sont initiés à la photographie en 2012 à travers le projet Of Soul and Joy entrepris par rubis mécénat. La photographie devient pour eux un moyen de dépeindre leur environnement et de conter des histoires proches de leur communauté. invités par le premier Festival international de Photo de Gand, leurs travaux sont présentés pour la première fois en europe dans l’exposition “ Free from my Happiness ” à travers le regard des commissaires d’exposition Tjorven Bruyneel et Bieke Depoorter. Thokoza est un township reculé situé au sud-est de Johannesburg en afrique du sud. Le township a été créé de toutes pièces par le gouvernement d’apartheid dans les années 1950. Il fût construit exactement selon les théories du régime raciste de « développement séparé » mis en place quelques années auparavant. au début des années 90, Thokoza connait des violences croissantes entre communautés noires. aujourd’hui encore, cette urbanisation « théorisée et réfléchie » est restée identique. Les conditions de vie n’ont pas changé, seul le nombre de bidonvilles, où les gens vivent dans des baraques en tôle, a triplé. Dans l’exposition “ Free from my Happiness ”, les trois jeunes photographes documentent ainsi leur township natal. Dans At night, they walk with me, sibusiso Bheka nous entraine à travers ses souvenirs d’enfance, qui semblent souvent surréalistes. alors que dans sa série Encounters, Tshepiso mazibuko photographie l’intimité des personnes rencontrées, Lindokuhle sobekwa, lui, décrit la vie des jeunes accros à la nyaope, une drogue addictive répandue principalement chez les jeunes noirs sud-africains. Le titre de sa série, Nyaope. Everything you give me my Boss, will do, fait référence au jargon employé par les toxicomanes quand ils mendient. Les photographes belges Tjorven Bruyneel et Bieke Depoorter, membre associé de magnum photos, ont guidé les trois photographes dans leur parcours créatif. En zoulou, Thokoza signifie bonheur. appareils photo en main, Bheka, mazibuko et sobekwa ont décidé, en 2012, de témoigner de leur vie quotidienne, entre échappatoire et recherche de liberté. nés après 1994, en même temps que la démocratie, ils font partie de la génération des "Born Free" comme on les appelle en afrique du sud. A voir jusqu'au 30 août 2015

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Le Festival du Regard

Né de la volonté de créer un événement photographique d’envergure internationale sur l’ouest parisien, le festival est organisé par la société Marianne. Participations avec le soutien des résidences  intergénérationnelles «Les Maisons de Marianne» et des villes participantes : Saint-Germain-en-Laye, Le Port-Marly et Marly-le-Roi/Louveciennes. Pour cette première édition, Eric Vialatel directeur du festival, a souhaité axer sa programmation sur la thématique de "l’Humain" qui permet de présenter différents domaines de la photographie. Les photographies présentées ainsi que les scénographies sont le fruit d’une collaboration entre les artistes ou les galeries qui les représentent et le festival. Les expositions ont lieu en intérieur comme en extérieur. A voir jusqu'au 30 août 2015
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Emile Savitry (1903-1967), un photographe de Montparnasse - Musée Géo-Charles

L’Académie de peinture de la Grande Chaumière, les cafés du Dôme, la Rotonde et la Coupole, les ateliers d’artistes où posaient des nus, le boulevard Edgar Quinet et les boîtes de jazz ; c’est au cœur de Montparnasse qu’Émile Savitry a entamé sa carrière de peintre, développé celle de photographe, fréquenté ses amis sculpteurs, peintres, poètes, musiciens, c’est là que ce talentueux touche-à-tout qui "avait plus d’une corde à son art" vécut toute sa vie.Son oeuvre ravive les heures chaudes de Montparnasse, cette ébullition artistique et amicale qui prenait racine dans l’atmosphère enfumée des cafés du carrefour Vavin. On y voit Alberto Giacometti, Victor Brauner, Anton Prinner que Savitry photographia dans l’intimité de leurs ateliers, Samuel Granowski qu’il saisit au zinc de la Rotonde, Jacques Prévert qu’il rencontre avec son frère Pierre à l’époque du groupe Octobre lorsqu’il revient d’un long périple en Polynésie. Il y avait fui un succès trop vite acquis et qui l’effrayait lors de sa première exposition de peinture à la galerie Zborowski en 1929....A voir au Musée Géo-Charles d'Échirolles, jusqu'au 20 décembre 2015Je vous ai mis le site













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Raymond Cauchetier’s New Wave - James Hyman Gallery

Raymond Cauchetier, l’un des plus influents photographes de cinéma de son époque, a été pendant des années le génie non reconnu derrière certaines des images les plus iconiques du cinéma français des années 60. Suite à une campagne soutenue, son travail est maintenant finalement reconnu et ce mois-ci il y a une double affiche pour les fans de Cauchetier,, avec une exposition de photographies non publiées auparavant à l a Galerie James Hyman à Londres et la publication d’une nouvelle monographie de son œuvre. A voir jusqu'au 14 août 2015











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